MAUTISTE | Qu’est-ce que la liberte? Lei§ons de philosophie, sujets corriges, questionnaire et reflexions autour d’une notion au programme bac 2022
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Qu’est-ce que la liberte? Lei§ons de philosophie, sujets corriges, questionnaire et reflexions autour d’une notion au programme bac 2022

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Dans ce file = Reperage et analyse des distinctions conceptuelles autour des corriges des sujets suivants

I – Qu’est votre que la liberte ? 1. J’ai liberte est une absence de contraintes. 2. Le libre arbitre

J’ai LIBERTE

J’ai liberte parai®t etre et cela peut etre experimente a tout instant via une banale decision en volonte qui oriente les actions en fonction d’un tri qui est notre, lequel pourra a tout moment donner son assentiment ou le refuser a cela apparai®t. Comme claque remarquer Descartes : ” La liberte se connait sans preuve par la seule experience que nous en avons.”. L’immediatete de ce sentiment lui donne t-il concernant autant 1 fondement ? Notre liberte tel libre decret de la volonte n’est-elle jamais une illusion liee a Notre conjonction une conscience de des actes et de l’ignorance des contraintes qui s’exercent concernant nous quand nous choisissons ? J’ai liberte est-elle plus grande lorsqu’apparemment pas grand chose ne nous pousse a acheter ? Avons-nous plus d’independance une volonte dans la resistance a ce que une entendement nous impose ou au contraire dans l’acceptation de ce qui est necessaire au deploiement de l’etre ? Pouvons-nous alors etre libres dans l’ignorance de ce qui constitue l’essence des choses et J’ai notre ? Etre libre, n’est-ce pas vouloir et cela s’impose de sa seule necessite a etre ainsi et jamais autrement parce que le deploiement de l’etre l’exige ? N’est-ce gui?re lorsqu’un acte ou une decision ne nous laissent plus les moyens d’etre refuses que nous choisissons le plus pleinement ? Socrate ne pouvait nullement vivre sans philosopher parce que philosopher est l’expression la plus profonde de son etre, Van Gogh n’aurait pu concevoir de peindre autrement parce que c’est ainsi qu’il etait a sa juste place dans l’existence. Si la liberte reside au sein d’ l’aptitude a acheter cela nous accomplit et nous rejouit a Notre fois, n’est-elle gui?re le resultat d’une conquete et de la liberation progressive qui nous apprend a discerner ce qui nous detourne de nous-meme bien en se presentant sous l’apparence de la liberte immediate (l’accomplissement sans frein de pulsion, la volonte de domination ainsi que pouvoir, la paresse, l’absence de contraintes ainsi que discipline aussi bien dans nos actes que les pensees, l’absence d’exigence pour une life) ? Loin d’eliminer la contrainte, la liberte ne va se concevoir qu’a partir d’elle mais elle substitue a une contrainte imposee de l’exterieur (heteronomie) une contrainte important que l’etre s’impose a lui-meme (autonomie). Comme claque remarquer Rousseau : “l’impulsion du seul appetit est esclavage, et l’obeissance a Notre loi qu’on semble s’i?tre prescrite reste liberte”. Notre liberte releve bien davantage de l’exigence que l’on s’impose a soi et du devoir concernant votre qu’on a a etre que de l’immediatete et de la facilite. En ce sens, nous pouvons comprendre que “nous sommes condamnes a etre libres” comme le dit Sartre. Nous devons repondre de les actes et de nos engagements malgre les determinismes agissants sur nous, bien que nous n’ayons jamais J’ai connaissance en totalite des parametres tel si nous en etions pleinement des auteurs. Pouvoir repondre de nous, voila l’imperatif exige par la morale et l’existence avec nos semblables et cela doit pouvoir l’etre de tout homme quelque soit son effectif degre de liberte. Kant va meme jusqu’a reconnaitre qu’il n’existe peut-etre aucun acte libre (dont nous serions la cause initiatrice) au monde, c’est pourquoi nous devons postuler la liberte humaine comme condition de l’exigence morale elle-meme condition en valeur en personne humaine a partir de laquelle le devoir de respect prend sens. Lorsqu’un homme est juge dans un tribunal, on le suppose libre d’avoir agi autrement sans quoi on ne pourrait gui?re le punir et pour le sens la punition reste un droit, une reconnaissance de son humanite. Si l’experience d’une liberte n’est nullement humainement possible, il va i?tre toutefois specifiquement humain de l’exiger et de l’attendre en depit des exemples d’alienation multiples. Nous nous donnons des lois qui nous punirons lorsque nous nos enfreindrons mais votre contrainte nous libere toutefois de l’arbitraire du pouvoir humain. Ainsi que le evoque Rousseau “un peuple obeit aux lois, mais il n’obeit qu’aux lois et c’est par la force de lois qu’il n’obeit jamais a toutes les hommes.” N’avons-nous jamais enfin la liberte que nous exigeons de nous, que nous nous donnons Afin de notre grandeur et pour notre malheur ?

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